25/01/2016

LA PHOBIE DES ARRAIGNES

Arachnophobie : La phobie des araignées

"C’est une peur très occidentale, que l’on ne retrouve pas ailleurs. Dans les pays orientaux ou en Afrique, par exemple, l'approche est tout à fait différente, l’araignée peut même y être perçue de façon positive."

Christine Rollard, archéologue, spécialiste des araignées, surnommée « Madame Araignée »
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C'est juste !

17/01/2016

LA MÉDITATION, LES MÉDITATIONS

[Vision de Fabrice Midal, intéressante...]

"La méditation de pleine conscience, dont on entend souvent parler, est quelque chose de l’ordre du contrôle, de très intellectuel. Pour parvenir à s'ouvrir au monde et à retrouver confiance, il faut accéder à des méditations non instrumentalisées. C’est une manière d’entrer en contact avec la source même de ce que nous sommes."

14/01/2016

LE METIER DE SOPHROLOGUE

Que doit-on intégrer pour être un bon sophrologue ?

"Un savoir... un savoir-faire, un savoir être. Résister aux sirènes du « tout, tout de suite » en éliminant les organismes qui vous proposent des formations courtes ou à distance et se poser les bonnes questions."

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A lire
"Faire exister le métier de sophrologue" par Véronique Pons

http://libreservice.nordlittoral.fr/magazine/article/faire-exister-le-metier-de-sophrologue-32029.html

07/01/2016

LE CERVEAU DES CREATIFS

Nous entendons souvent parler du mythe du « cerveau droit » qui contrôlerait notre imagination, nos émotions et notre créativité. La réalité est en fait bien plus complexe.

La créativité fait intervenir l’ensemble du cerveau et interagir de multiples régions. C'est en particulier le cas quand nous rêvons éveillé, que nous ruminons ou que nous laissons notre esprit s'évader.
Ce réseau est aussi associé à la compassion, à la capacité de nous comprendre nous-mêmes et de construire un sentiment d’estime de soi. Il est fondamental mais ne peut pas fonctionner tout seul. Il travaille en étroite collaboration avec la fonction exécutive du cerveau, celle qui contrôle notre attention ou notre mémoire. En résumé, la fonction qui nous permet de nous concentrer.
Pour schématiser, les cerveaux créatifs sont de véritables interrupteurs. Ils allument et éteignent l’un ou l’autre de ces réseaux avec beaucoup de facilité alors que chez la majorité des hommes et des femmes, ces connexions fonctionnent ensemble. En switchant de mode, les personnes créatives jonglent avec les contradictions, entre l’émotionnel et la rationnel, le réfléchi et le spontané. Ils ont accès à une palette de nuances qui n’est tout simplement pas disponible chez la plupart d’entre nous. C’est peut être la raison pour laquelle les grands génies sont par, nature, insaisissables.


Extrait de l'article rédigé par Mylène Bertaux | Le 06 janvier 2016 - Le Figaro